Elles et ils ont dit (II)

Pour le deuxième jour consécutif, les vedettes du circuit ont "rencontré" les journalistes. Extraits.

Johanna Konta - Media Day 2020© Cedric Lecocq / FFT

Johanna Konta : "Aucune raison pour que je ne joue pas bien ici"

"J'ai toujours aimé la terre battue. Vraiment. D'ailleurs, quand j'étais plus jeune, j'ai obtenu mes meilleurs résultats sur cette surface. Il n'y avait donc aucune raison pour que je ne joue pas bien ici. Et d'ailleurs, on a vu ce que cela a donné l'an dernier (elle avait disputé les demi-finales, ndlr). Peu importe qu'elle ait 14 ou 40 ans (à propos, de Cori Gauff, son adversaire du premier tour). Je pense qu'elle n'est pas là par hasard. Je vais entrer sur le terrain en respectant la joueuse qu'elle est. Je vais devoir répondre à ce qu'elle va me proposer tennistiquement, mais je ne vais pas jouer contre ce qu'elle représente sur les réseaux sociaux ou contre sa personnalité."

Serena Williams : "Je ne sais pas quand cela va s’arrêter pour moi"

"Je n’aurais jamais pensé jouer encore à mon âge (Serena a fêté ses 39 ans ce samedi 26 septembre). Bon, après, je ne fais pas franchement 39 ans ! Je ne sais pas quand cela va s’arrêter pour moi. Quand je sentirai que c’est la fin, ça sera la fin. J’aurais pu parier ma vie sur le fait que je ne jouerais pas encore à 39 ans. C’est d’ailleurs pour ça que je ne parie pas (sourires)."

Serena Williams, Roland Garros 2020, press conference© Cédric Lecocq/FFT

Karolina Pliskova : "Presque à 100 %"

A propos de sa blessure à la cuisse : "Cela va beaucoup mieux. J'ai joué hier et aujourd'hui samedi. J'ai la chance de ne démarrer le tournoi que mardi, ça me laisse encore du temps pour soigner ça. J'espère que je serai presque à 100 %. Je n'y suis pas encore, mais je suis sur la bonne voie."

Karolina Pliskova lors du Media 2020© Cedric Lecocq / FFT

Novak Djokovic : "Des conditions bien différentes de ce à quoi nous sommes habitués à Roland-Garros"

"Oui, c'est la première fois que nous utilisons des balles Wilson sur terre battue. Je suis d'accord, les balles sont lourdes. Mais nous sommes en octobre, il fait froid, et la terre battue est lourde et humide. C'est difficile de dire si la balle est lourde dans l'absolu ou si c'est le fait de jouer dans ces conditions particulières. C'est comme ça, nous devons l'accepter, c'est la raison pour laquelle nous sommes venus plus tôt afin d'essayer de nous habituer à ces nouvelles balles et à des conditions bien différentes de ce à quoi nous sommes habitués à Roland-Garros."

Novak Djokovic, Roland Garros 2020, press conference© Cédric Lecocq/FFT