Son défi ultime ? Battre “Rafa“ sur ses terres
“Rafa est plus difficile à battre qu’ailleurs sur cette surface“ : Dominic Thiem sait de quoi il parle, lui qui n’avait marqué que deux jeux en quart de finale du Rolex Monte-Carlo Masters face au Majorquin l’an passé (6/0, 6/2), quelques semaines avant de s’incliner en trois sets en finale de Roland-Garros face au même ogre de l’ocre (6/4, 6/3, 6/2).
Mais “difficile“ ne veut pas dire “impossible“. Dominic Thiem le sait aussi, puisque il a réussi à le faire deux fois : en 2016 à Buenos Aires -il y a presqu’une éternité- et surtout, l’an dernier, à Madrid.
Et même si l’Autrichien a confié avoir trouvé le roi de Roland-Garros très en forme à l’entraînement ces derniers-jours, il a également prévenu : “c’est important de croire que l’on peut le battre. À Monte-Carlo et Roland-Garros, c’est encore plus dur qu’ailleurs de le faire, mais je vais tout donner pour essayer de le battre une fois encore sur terre battue.“ À Monte-Carlo, cela serait en finale, forcément.