Résumé vidéo : Thiem-Monfils

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En 2009, Roger Federer dispute sa quatrième finale consécutive à Roland-Garros. Mais pour la première fois, le Suisse n’est pas opposé à son plus grand rival Rafael Nadal. Le n°2 mondial affronte le tombeur du Majorquin en huitièmes de finale et sensation de cette édition, le Suédois Robin Söderling. Au terme d’un match maîtrisé (6/1, 7/6(1), 6/4), il remporte son 14e tournoi du Grand Chelem, devenant ainsi le 6e joueur de l’histoire à inscrire son nom au palmarès de chaque Majeur.

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Revivez en images le duel titanesque livré par Novak Djokovic et Rafael Nadal dans le dernier carré de l’édition 2021 de Roland-Garros. Jamais battu à ce stade de la compétition, le maître des lieux a fini par craquer dans la nuit parisienne, au terme d’un combat magnifique et mémorable de 4h10 (3/6, 6/3, 7/6(4), 6/2). Un exploit confirmé par le numéro un mondial, qui soulèvera deux jours plus tard, sa deuxième Coupe des Mousquetaires.

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Titrée en 2003, 2005, 2006 et 2007, Justine Henin revient sur ses meilleurs souvenirs à Roland-Garros. De sa première en tant que spectatrice alors qu'elle n'était qu'une petite fille à sa dernière participation en 2010, en passant par sa demi-finale contre Serena Williams en 2003 et ses quatre victoires en finale, la championne Belge raconte comment ce tournoi a changé sa carrière et même sa vie !

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Incroyable match, incroyable dénouement pour cette demi-finale 2022. Malmené par un Alexander Zverev impressionnant, Rafael Nadal a dû sauver quatre balles de premier set face à l’Allemand qui a ensuite servi pour le gain de la deuxième manche avant une fin de match cruelle dont vous vous souvenez peut-être !

Presque trente ans après son plus beau parcours en Grand Chelem, le Suisse Marc Rosset évoque ses meilleurs souvenirs de Roland-Garros. Des matchs de Borg à la finale mémorable de Yannick Noah, ses premières émotions derrière le petit écran l'ont conduit à fouler lui-même la terre battue du court Philippe-Chatrier. Sur sa surface préférée, il a réuni toutes les conditions pour atteindre le dernier carré lors de l'édition 1996. Tombeur de Stefan Edberg en huitièmes de finale puis de Bernd Karbacher en quarts - grâce notamment au soutien sans faille de Jean-Paul Belmondo -, il raconte avec franchise et humour son aventure et n'a qu'un seul regret : ne pas avoir pu affronter Yevgueni Kafelnikov en finale.